Léopoldine
Le studio Léopoldine, prénom d’une des filles de Victor Hugo qui nous inspire ici, est un appartement indépendant qui se trouve à l’arrière de la Villa Augustine, et qui donne directement sur le petit jardin. Incomparable par sa hauteur de plafond, et par son incroyable couleur brique (le confidentiel Deep Reddish Brown W101 de chez Farrow & Ball), ce gîte de caractère à Dieppe vous séduira par son aménagement : le couchage se trouve en mezzanine, on y accède par un petit escalier-échelle ! Cet appartement en Haute-Normandie est constitué d’une cuisine équipée, d’une salle de bain, d’un coin repas et d’un coin salon. C’est un lieu totalement atypique à Dieppe !
Le couchage est constitué d’une part deux matelas Futon de première qualité, qui forment un lit de 180X200 cm (soit deux matelas de 90X200 cm), installé en mezzanine (la hauteur sous plafond au niveau du couchage est de 1m35) sur des tatamis épais. Le moelleux est incomparable et vous passerez des nuits magnifiques à Dieppe ! De chaque côté du lit, des liseuses vous permettent de lire en toute discrétion. Un second couchage est disponible dans ce logement sous la forme d’un canapé lit Futon, première qualité (épaisseur Futon 17 cm), dimension du lit ouvert pour 2 personnes : 140X190 cm.
La cuisine a tout l’équipement dont vous aurez besoin durant votre séjour, pour préparer vos repas et petits déjeuners aussi bien qu’à la maison ! Le coin repas se trouve juste en face du coin salon, idéal pour vous relaxer et vous consacrer à vos lectures. C’est un lieu qui inspire le calme et la détente. Dans la salle de bain, vous trouverez une grande douche, un lavabo, et un wc.
Le linge de lit, ainsi que le linge de bain sont fournis avec la location de cet appartement.
La superficie de Léopoldine est d’environ 28m2 au sol, plus la superficie de la mezzanine. Pour votre confort, une machine à laver le linge et un séchoir sont à votre disposition dans la laverie de la Villa Augustine.
Mais qui était Léopoldine ?
Elle est la muse de son père Victor Hugo, qui ne peut jamais rester loin d’elle et n’accepte son mariage que sous la contrainte, au bout de trois ans. Victor Hugo se comportera dès lors comme si sa fille n’existait plus, ce qui provoquera une intense douleur chez celle-ci.
D’où les questions qui se posent sur l’accident (une promenade en barque sur la Seine, à Villequier) qui coûta la vie à Léopoldine et son mari.
Après sa mort, Victor Hugo, dévasté, écrira le déchirant poème :
Demain, dès l’aube…
Demain, dès l’aube, à l’heure où blanchit la campagne,
Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m’attends.
J’irai par la forêt, j’irai par la montagne.
Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps. (…)