Albertine
Albertine est un adorable appartement sous les combles à Dieppe ! Avec ses poutres apparentes, et sa lumineuse couleur jaune (India Yellow 66 de chez Farrow & Ball), vous serez charmé par le beau volume de la chambre séparée. Ce gîte en Normandie est aménagé avec une cuisine équipée, ainsi que les wc indépendants. Lieu tout à fait atypique à Dieppe, la douche et le lavabo sont dans la chambre ! Ce merveilleux studio est situé au second étage de la Villa Augustine à Dieppe. Retrouvez l’élégance, le charme et le goût du temps retrouvé, laissez-vous inspirer par l’esprit d’Albertine.
Vous serez séduit par la qualité de la literie (lit Queen size 160X200) dans laquelle vous passerez d’incomparables nuits à Dieppe ! En plus des lampes de chevet, chaque tête de lit est pourvue de liseuses pour vous adonner à vos lectures préférées. Si vous étiez inspiré et que vous vouliez vous mettre à l’écriture, un petit bureau a été installé. C’est un lieu idéal pour vos week-ends romantiques en Normandie, proche de la mer, une Normandie insolite à découvrir à travers ce lieu de caractère à Dieppe.
La cuisine est totalement équipée, et vous permettra de préparer vos plats et mets dieppois, ou encore de généreux petits déjeuners !
Le linge de lit, ainsi que le linge de bain sont fournis avec la location de cet appartement.
La superficie du studio Albertine est d’environ 29 m2 au sol (appartement en sous-pente). Pour votre confort, une machine à laver le linge et un séchoir sont à votre disposition dans la laverie de la Villa Augustine.
Comment dans cette atmosphère normande ne pas convoquer Proust et “A la recherche du temps perdu” ? C’est sur une plage que Proust remarquera pour la première fois Albertine…
« A partir de cet après-midi-là, moi, qui les jours précédents avais surtout pensé à la grande, ce fut celle aux clubs de golf, présumée être Mlle Simonet qui recommença à me préoccuper. Au milieu des autres, elle s’arrêtait souvent, forçant ses amies qui semblaient la respecter beaucoup à interrompre aussi leur marche. C’est ainsi, faisant halte, les yeux brillants sous son « polo » que je la revois encore maintenant silhouettée sur l’écran que lui fait, au fond, la mer, et séparée de moi par un espace transparent et azuré, le temps écoulé depuis lors, première image, toute mince dans mon souvenir, désirée, poursuivie, puis oubliée, puis retrouvée, d’un visage que j’ai souvent depuis projeté dans le passé pour pouvoir me dire d’une jeune fille qui était dans ma chambre : « c’est elle ! » dans « A la recherche du temps perdu » Marcel Proust